bretagne historique carte

En 1882, le Finistère arrive à la quatrième place nationale au nombre de batteuses, les Côtes-du-Nord à la huitième et l'Ille-et-Vilaine à la onzième place[364]. Enregistrée par International/World Media. En 850, Nominoë prend l'initiative d'une attaque militaire vers Angers. La création d'ordres nouveaux entraîne l'ouverture de nouvelles abbayes et vingt-sept sont ainsi créées au XIIe siècle[146]. À côté des livres religieux sont aussi imprimées des productions locales comme les Lunettes des princes en 1493, ou le Catholicon en 1499, premier dictionnaire trilingue du monde, mais aussi premier dictionnaire breton et français[204]. À la suite des forges, la plupart des mines ferment au cours du siècle, voire au début du XXe siècle, comme celles de fer, de plomb argentifère ou de charbon. Les relations entre Bretons et Francs commencent à se tendre à partir de la mort de Childebert Ier en 558. L'élevage des chevaux de trait est réorienté vers la production de viande pour le marché italien[370]. À peine débarquée à Quiberon, la force expéditionnaire est battue par les Républicains du général Hoche[336]. Dédiées aux fêtes et aux parades, ces dernières s'imposent dans la moyenne et haute paysannerie[433]. Immeuble de la place du Parlement-de-Bretagne, construit à Rennes après l'incendie de 1720. Les bagadoù sont lancés à partir de 1947 par Polig Monjarret. Toute la Bretagne est couverte : le Morbihan (1952), l'Ille-et-Vilaine (1949), le Finistère (1952), les Côtes d'Armor (1952). D'autres chanteurs émergent à la suite de ce succès comme Gilles Servat ou Tri Yann. Des bifaces de cette époque acheuléenne sont présents le long des côtes, comme à Tréguennec, L'Hôpital-Camfrout ou Pléneuf[4]. La population est souvent victime de ces opérations, et les services de propagande exploitent la situation[484], mais l'opinion bretonne se tourne très vite et très massivement contre l'occupant[485]. Ce mécontentement contre la fiscalité est à l'origine de la conspiration de Pontcallec entre 1718 et 1720, soutenue par la petite noblesse mais pas par la population[263]. Les villes sont reliées entre elles par des voies romaines traversant la région ; trois grands axes est-ouest structurent le réseau, passant le long des côtes nord et sud, ainsi qu'au centre en passant le long d'un axe Le Mans-Rennes-Carhaix. Ankou présente sur l'ossuaire de Ploudiry. Face à leurs raids imprévisibles, la cavalerie bretonne est inadaptée ; les élites préfèrent composer avec cette menace plutôt que de la combattre, ce qui entraîne une fuite de la population[127]. Les Annales Mettenses priores (687) indiquent que, profitant de la déliquescence du pouvoir mérovingien, les Bretons, ainsi que d'autres peuples, se sont émancipés du pouvoir royal[82]. La Constitution civile du clergé rencontre une forte opposition en Bretagne, où entre 75 et 90 % des prêtres refusent de prêter serment. Le long des côtes, ces routes terrestres passent par le premier gué qu'elles rencontrent sur les rivières, c'est ainsi que des villes comme Lannion, Morlaix, Quimper ou Vannes se développent grâce à leurs emplacements vis-à-vis de leurs rivières respectives. À ceci s'ajoute une crainte de la part des peuples de la région que les Romains n'accaparent le commerce entre la Gaule et l'île de Bretagne d'où tirent leurs richesses les marchands de la région. Cependant, faute de débouchés professionnels dans la région pour cette jeunesse, la Bretagne devient par la même occasion l'une des principales exportatrices de matière grise en France[538]. par Morlaix, Carhaix, Gourin, Scaër, Rosporden, Voie verte de Fougères à Saint-Hilaire-du-Harcouët, mapping incomplet (09/2010) manque la portion pluguffan-tréméoc. Les élections d'avril 1848 fournissent en Bretagne des élus majoritairement issus des professions libérales (37 sur un total de 70 députés), de droite (48) et soutenus par le clergé, alors que ceux issus de la vie économique sont minoritaires (16)[390]. Ces accords permettent une accélération des migrations bretonnes dans la Domnonée[79]. Les populations de la région vouent alors un culte aux eaux, notamment aux sources, et probablement à d'autres lieux comme des rochers ou des îles, ainsi qu'à de petites statuettes de déesses-mères, attestant d'un culte de la fertilité[34]. Sur le plan démographique, la Bretagne se singularise du reste de la France. Les hommes délaissent la chasse pour la cueillette et les premiers essais de domestication apparaissent[10]. Bretagne. Parallèlement, la vigne se replie autour de la région de Nantes. La modernisation de la construction navale est elle aussi source de croissance : Saint-Nazaire avec l'aide de l'Écossais John Scott ouvre en 1861 un chantier de construction de navire en fer. Les artistes de la marine royale travaillant à l'arsenal de Brest et formés au classicisme sont ainsi amenés à travailler pour des paroisses du Léon et de Cornouaille[262]. En 845, Charles le Chauve rentre en Bretagne à la tête d'une petite armée, pensant pouvoir soumettre Nominoë, mais il est vaincu à la Bataille de Ballon[96]. Les objets fabriqués par les fabricants de bronze armoricains deviennent de plus en plus archaïques comparés aux objets de fer produits en Europe centrale, et ceux-ci n'apparaissent que tardivement et en faible nombre dans la région. Elle regroupe environ 42 % de la population provinciale, soit environ un million de locuteurs. Le nombre d'exploitations passe de 92 500 en 1988 à 51 000 en 2000[551]. Le cours des produits agricoles baisse à partir de cette date et, à partir de 1931, l'Angleterre arrête d'importer des pommes de terre en raison de la crise du doryphore, coupant ainsi la Bretagne-nord de ses débouchés. Cependant, ces connexions se font en priorité pour desservir les arsenaux (Brest, Lorient, Indret) et pour connecter la région à Paris dans une optique de centralisation. 70. Les exportations concernent des produits comme les céréales (notamment le Trégor et la côte sud allant de l'embouchure de la Vilaine à celle de la Laïta) vers la péninsule Ibérique[258] et surtout les toiles de lin et de chanvre dont la valeur à l'exportation va jusqu'à atteindre 9 à 10 millions de livres dans les années 1690 dans le Trégor, le Léon ou le pays de Saint-Malo[259]). Richelieu en profite pour se faire nommer à cette fonction, ce qui lui permet les années suivantes de saper le pouvoir provincial, d'obtenir la création de diverses charges et d'augmenter à plusieurs reprises les dons gratuits[251]. Émerge alors une classe de paysans-marins dont les activités évoluent dans l'année ; ils se rencontrent surtout le long des côtes, mais leurs activités irriguent le centre Bretagne, des paysans des monts d'Arrée pouvant utiliser dans la seconde moitié du XVe siècle le réal espagnol pour certains paiements[185]. Ceci oblige Charles le Chauve à concéder par le traité d'Entrammes de 863 une région comprise entre la Sarthe et la Mayenne[122], puis par le traité de Compiègne de 867 une région englobant le Cotentin, probablement l'Avranchin, ainsi que les îles de la Manche[123]. La francisation des souverains ne se produit que vers les XIe et XIIe siècles. Les grands monastères de l'époque (Landévennec, Léhon, Alet, Redon) produisent des hagiographies, mais aussi des livres liturgiques, avec des enluminures dans un style propre aux usages celtiques[114]. La vieille noblesse d'origine médiévale est la plus importante ; seules 303 familles sont anoblies au XVIIIe siècle. Il doit cependant composer avec la maison de Rennes qui contrôle le nord de la péninsule. En 1942 commence une utilisation plus massive de la région par les services secrets anglais et les premières livraisons d'armes commencent. Le 18 juin, le Maquis de Saint-Marcel subit la répression allemande[495]. Alan Stivell marque le début de la « première vague bretonne Â» au début des années 1970. Peu de ses députés s'y opposent, ces privilèges provinciaux garantis par l'édit d'union de 1532 profitant avant tout à la noblesse[318], mais cette suppression fait moins l'unanimité parmi les électeurs de ces députés en Bretagne[319]. La Constitution civile du clergé votée en juillet 1790 fait basculer la situation sur place comme dans le reste de l'Ouest français[326]. L'étrépage continue d'y être pratiqué : les paysans enlèvent à la houe la pellicule supérieure du sol et cette dernière est utilisée comme litière puis comme fumier. Les rares groupes humains sont alors constitués de nomades chasseurs[6]. Le gothique rayonnant se retrouve dans le chœur de la cathédrale de Quimper et de nombreux clochers cornouaillais relèvent du gothique flamboyant[208]. Seules des forges situées près de la mer, et donc de débouchés particuliers, comme Basse-Indre et Hennebont, parviennent à se maintenir en se modernisant[348]. De nombreux monastères suivent encore les usages scotiques jusqu'à ce que la réforme bénédictine ne s'impose au IXe siècle[116]. Les VIIIe et VIIe siècles av. Le Centre national d'études des télécommunications y ouvre son premier bâtiment en 1961[512] et en juillet 1962 a lieu la première « mondovision Â» depuis le site de Pleumeur-Bodou. Au cours du siècle et demi de cette période, les municipalités bretonnes rattrapent leur retard sur les cités françaises et acquièrent un certain nombre d'avantages politiques, administratifs et sociaux[191]. Ce dernier reste fidèle au roi français, participant à plusieurs opérations militaires lors des années suivantes comme la croisade des Albigeois. Les chants et récits oraux de cette langue commencent à être publiés à 1 500 exemplaires environ dans la première moitié du XIXe siècle sous la forme de feuillets de 6 à 8 pages[429] ; des nobles comme Aymar de La Calande commencent à partir de la Restauration à s'intéresser à cette culture populaire[430]. Dans la seconde moitié du XVIIIe siècle, le pommier à cidre se popularise de plus en plus vers l'ouest de la Bretagne et le cidre tend à remplacer presque complètement les vins parmi les boissons paysannes. Le système mis en place par Henri II ne survit que difficilement à sa mort en 1189[163]. À la même époque se met en place la frontière linguistique bretonne. J.-C. à 5 000 ans av. Elle est cependant de plus en plus dépendante de l'évolution de cadres institutionnels comme la politique agricole commune ou des discussions de l'OMC. Le club et les députés bretons jouent un rôle central lors de la nuit du 4 août qui a pour conséquence d'abolir les privilèges et par là même les droits particuliers de la Bretagne. La question régionale s'invite aussi au niveau politique. Le commerce breton est limité à l'intérieur des terres[196]. Les députés bretons, majoritairement légitimistes, s'opposent au coup d'État du 2 décembre 1851 (44 sur 59)[392], mais lors du plébiscite des 20 et 21 décembre 1851, comme lors des élections législatives du 19 février 1852, les Bretons votent en majorité pour le parti impérial, malgré des taux de participation bas, autour de 67 %. Cité d’art et ville historique de Bretagne, Lamballe organise ses rues et ruelles sur les flancs de la colline Saint-Sauveur. Le renouveau à gauche passe alors par la montée du PSU, plus décentralisé que la SFIO, qui enregistre son premier succès dès 1962 avec l'élection d'Antoine Mazier à Saint-Brieuc. Les productions agricoles se diversifient. Le duc meurt moins de deux mois plus tard, laissant sa fille Anne de Bretagne, âgée de 12 ans, comme héritière[228]. Les traces archéologiques en Bretagne sont relativement faibles par rapport aux autres régions françaises. Cette tendance politique reste plus forte en Bretagne que dans le reste de la France lors des scrutins suivants. Les surfaces tombent ainsi à 785 000 hectares en 1862, puis à 422 000 hectares en 1913[368]. Ces activités attirent des prêteurs étrangers, juifs (surtout à Nantes et Guérande) jusqu'à leur expulsion en 1239, puis italiens par la suite[148]. La littérature de langue bretonne est, elle, favorisée par l'édition de la revue Gwalarn à partir de 1925[479]. Carte de la Bretagne à gratter, un concept très original et ludique entièrement imaginé et fabriqué en Bretagne ! Rennes passe de 25 000 habitants en 1801 à 80 000 en 1911 et s'affirme comme une ville administrative et universitaire. Des littératures de langue française[205] et bretonne connaissent un essor sur cette période[206]. Ces axes continuent d'être utilisés jusqu'à leurs réorganisations par le duc d'Aiguillon au XVIIIe siècle[57]. À la suite de son union avec la France en 1532, la Bretagne cesse d'avoir des relations politiques directes avec des pays étrangers, mais profite de la conjoncture économique favorable pour développer le commerce maritime en exportant ses produits agricoles et manufacturés, ce qui fait d'elle « le premier peuple naviguant de l'Europe du XVIe siècle[245] Â» ; l'économie bretonne devient tributaire des choix royaux. Il est constitué de seize Bretons et de seize non-Bretons auxquels s'ajoute un président non Breton. Des élevages de bovins et de porcs se retrouvent partout dans la région[193]. La version du 24 mars 2015 de cet article a été reconnue comme «, Un âge du bronze favorable à une région productrice d'étain, Âge d'or de l'Armorique romaine pendant la, L'Armorique dans un monde romain en crise du, Des royaumes bretons au royaume de Bretagne, Des tensions grandissantes face au pouvoir franc, Reconstitution d'un pouvoir breton sur le continent, Pouvoirs bretons contre pouvoirs mérovingiens, Tentatives d'intégration au pouvoir des Carolingiens, Tentative d'instauration d'un royaume de Bretagne, Consolidation et décadence du nouveau royaume, Un duché poursuivant une politique d'indépendance, Évolutions sociétales de l'après an Mil, Dominations successives des maisons de Nantes, de Rennes, puis de Cornouaille, Une économie diversifiée profitant de la neutralité bretonne, Une vie culturelle marquée par la fin du Moyen Âge, Une politique d'indépendance affirmée au long du, L'intégration de la Bretagne au royaume de France, Altération du pouvoir local au profit de la royauté, Essor démographique fort et évolutions sociétales, Affirmation puis érosion de l'absolutisme royal en Bretagne, Contractions et reconversions économiques, Une société en évolution et des centres urbains en mutation, Mouvements d'opposition à la Révolution, Conséquences socio-politiques de la Révolution et de l'Empire, Des secteurs économiques en crise et d'autres porteurs d'innovations, Politique, syndicats, Église : évolution des relations de pouvoir, Une culture entre romantisme français, redécouverte du patrimoine et développement endogène, Société traditionnelle en recul et réponse culturelle de l', Occupation et opérations militaires dans la région, Renouveau culturel et « première vague bretonne Â», Ancrage à gauche, question de la réunification et essor de l'écologie politique, Crises économiques dans une région peu diversifiée, « L'acharnement des bergers spirituels contre tout ce qui était soupçonné présenter un relent de paganisme, le zèle des pionniers défricheurs, le nouvel acharnement contre les ", « le premier peuple naviguant de l'Europe du, « si des Parisiens oublient qu'ils sont français et nos frères, nous n'oublierons jamais que nous sommes Bretons et les ennemis nés des tyrans Â», « pour l'unité linguistique de la France, la langue bretonne doit disparaître. Celles-ci connaissent des évolutions opposées. La mort de Louis XIV en 1715 entraine le début d'une ère de reconquête de pouvoir du côté breton[285]. Les lieux païens (fontaines, sources, arbres...) sont progressivement christianisés et associés à un saint particulier[101]. Aidé par l'amélioration de l’alimentation, le poids des bêtes double ; le nombre de porcs double également, grâce à l’essor de la culture de la pomme de terre[369]. En effet, pendant la guerre de la Ligue, la plupart des ports bretons, à l'exception de Brest, prennent parti pour les Catholiques ; leurs convois deviennent la cible des corsaires anglais ou rochelais[253]. Limite administrative Limite administrative. De l'autre côté de la Manche, Théodose l'Ancien pacifie la Bretagne insulaire à partir de 368. Au début du XXe siècle, l'activité se maintient difficilement dans la région de Saint-Malo et disparait de celle de Saint-Brieuc[351]. L'opposition reste cependant divisée[252]. La faïence de Quimper crée sa première assiette à sujet « breton Â» en 1878[423]. J.-C., puis par les Coriosolites vers 90-80 av. Étienne de Fougères, dans le registre britto-roman, rédige le Livre des Manières et La Chanson d'Aquin[149] ; Marbode ou encore Guillaume de Rennes s'expriment eux dans le registre britto-latin[150]. Le tandem Louis XIV-Colbert va chercher à réduire le poids politique des États afin d'obtenir le financement des guerres menées par la royauté. Le contenu des tombes de l'époque montre un appauvrissement des élites, dont les tombes ne diffèrent plus guère du reste de celles du peuple[27]. Une ossature urbaine d'environ soixante villes couvre le duché. Les États de Bretagne ne sont par la suite plus capables de s'opposer à la mise en place de nouveaux impôts : la capitation est instaurée en 1694, le dixième instauré en 1710 est remplacé par le vingtième en 1749 et 1756. Alors qu'au XVIe siècle une forte hausse puis un ralentissement démographique sont enregistrés partout ailleurs, la population bretonne connait une nouvelle dynamique de hausse après la fin de ce siècle, pour atteindre un maximum vers 1670-1680[265]. J.-C., la victoire de Rome sur les Salyens permet aux marchands romains d'accéder plus largement à la Gaule[36], notamment pour écouler des vins italiens. Les cinq départements créés n'ont plus de liens entre eux, bien que la cour d'appel de Rennes créée en 1800 reprenne le découpage de l'ancienne province. Le sous-sol de la région étant riche en étain, élément entrant dans la fabrication du bronze, son extraction se développe en Bretagne, donnant lieu à la constitution vers 2400-2200 av. Bretagne. L'architecture gothique que l'on trouve à l'époque est influencée par des styles de différentes régions et certaines réalisations sont proches de ce que l'on peut rencontrer en Île-de-France, en Normandie (façade occidentale de la cathédrale de Saint-Pol-de-Léon), en Angleterre (nef de Saint-Mathieu à Plougonvelin), ou encore de style angevin (voûte de la cathédrale de Vannes). En 1910, les Bretons restent les plus nombreux en France à être exemptés de service militaire en raison de rachitisme, d'idiotisme ou de tuberculose. À partir de l'automne de la même année, l'arrivée dans la région de chouans venant de Vendée relance l'agitation, notamment avec le passage de la virée de Galerne dans l'est de la Haute-Bretagne[333]. Lors de la victoire du Cartel des gauches aux législatives de 1924, la région donne 45 % des voix et 60 % des sièges à la droite, en raison de la question de la laïcité et de l'enseignement scolaire qui renforce l'opposition catholique encore forte en Bretagne[444]. Cette organisation permet à certains d'accéder à de hautes charges au sein de l'empire, et sur cette période au moins deux Armoricains accèdent à un rang important au sein de l'Assemblée des Trois Gaules[56]. Ces échanges commerciaux jouent un rôle moteur dans la propagation de nouvelles techniques et expressions artistiques ; c'est ainsi que des épées et poignards découverts en Hesse rhénane ou des tumulus du Wessex présentent de fortes similarités avec leurs contreparties bretonnes[21]. J.-C., les Romains construisent une flotte de navires. Une part du clergé, des évêques jusqu'au bas-clergé, est alors constituée d'hommes mariés et leurs charges ecclésiastiques sont devenues des biens privés, héréditaires et des dynasties religieuses se sont constituées ; le dernier évêque héréditaire de Quimper disparait en 1113 et les derniers prêtres mariés disparaissent lors des XIIe siècle et XIIIe siècle. Cela se traduit par un faible investissement de capitaux étrangers dans la région, et de 1996 à 2005 seulement 112 projets de création, extension ou reprise d'entreprise sont effectués par ce bais, dont la moitié concentrés en Ille-et-Vilaine[548]. Paiement Sécurisé & Livraison rapide dès 4,90 €. Cependant, cette région ne voit pas l'apparition de riches marchands comme les juloded du Léon du siècle précédent[293] et subit les effets de la guerre d'indépendance des États-Unis à partir de 1775. Le camp des Montfort obtient le soutien du roi Édouard III d'Angleterre, alors que celui des Penthièvre obtient celui du roi Philippe VI de France[171], les deux rois étant en conflit ouvert depuis 1337[172]. Dans le même temps se constitue une association d'opposition républicaine, l'« association républicaine de l'Ouest Â», portée par Guépin à Nantes ou Morhéry à Loudéac[388]. Ce taux n'a augmenté que de 20 % en 1830. Terre alors réputée conservatrice, elle voit néanmoins se développer des mouvements ouvriers importants dans des villes comme Brest, Lorient ou Saint-Nazaire. Dans les années 580, le roi Franc Gontran doit nommer Beppolène Dux pour assurer la défense des villes de Rennes, Nantes, et Angers, préfigurant ainsi la création des marches de Bretagne, mise en place plus tard par la dynastie franque suivante. Les réseaux commerciaux à grandes distances sont coupés, ce qui a pour effet l'arrêt des industries de salaison vers 280 à Douarnenez comme à Crozon ; localement, la frappe de monnaies de substitution, copiant les monnaies officielles, permet la continuité des échanges commerciaux à une échelle plus limitée[66]. Saved by International/World Media. Plusieurs axes de communication se mettent en place. Entre 1000 et 750 av. La surface cultivée ne diminue que peu durant la période, mais les rendements connaissent une baisse. Des machtierns dirigent les paroisses[102] : cette fonction héréditaire touche aux domaines judiciaire[103] et fiscal, et porte aussi sur la gestion des terres inhabitées[104]. Les Bretons rencontrent pour la première fois les Francs dans la seconde moitié du Ve siècle alors que ceux-ci sont dans une dynamique d'expansion de leurs territoires vers le sud. Cette zone, attestée dès 778, comprend les comtés de Vannes, de Rennes, et de Nantes. Carte des 9 provinces historiques de la Bretagne. Sur le plan linguistique, la zone bretonnante tend à se contracter à l'ouest d'une ligne allant de Saint-Nazaire à Saint-Brieuc et passant par Josselin et Loudéac. Passant une alliance avec certains de ceux-ci, ainsi qu'avec Louis, le fils de Charles le Chauve, il entretient un climat de guerre civile dans l'ouest de la Francie occidentale[121]. Les biens de l'Église sont aussi devenus la propriété de laïques et des restitutions s'opèrent principalement au XIe siècle et XIIe siècle, au bénéfice principalement des ordres réguliers[145]. Les alliés anglais des Montfort doivent à cette époque limiter leurs dépenses militaires[176], alors que la plus grosse partie des affrontements contre les Français ont lieu sur d'autres fronts[178]. L'électrification des campagnes s'achève elle entre 1952 et 1960, alors qu'avant cette époque seuls 40 % des foyers y avaient accès. S'inscrire. J.-C. voient l'émergence dans le nord des Alpes du travail du fer, dont les qualités sont supérieures à celles du bronze, ce qui provoque une baisse de la demande de celui-ci, et donc de la demande d'étain[26]. Ce secteur des télécommunications se développe ensuite à Rennes puis à Brest lors des dix années suivantes[513]. Un processus d'émergence d'un pouvoir politique viking comparable dans sa forme à ce qui peut s'observer à la même époque en Normandie est à l'œuvre ; il n'aboutit pas, faute de la présence d'un chef capable de fédérer les différentes bandes rivales[130]. Le XIXe siècle voit la modernisation de l'agriculture bretonne grâce à plusieurs facteurs. Son pendant maritime est aussi limité au XIVe siècle, mais connait une croissance par la suite. C'est alors Alix de Thouars, la fille que Constance de Bretagne a eue avec Guy de Thouars à la suite d'un remariage, qui hérite. Les techniques humaines continuent à progresser avec une réduction des dimensions des outils en pierre pour former des microlithes[10]. En 54 av. À la fin des années 1830, la charrue créée par Mathieu de Dombasle commence à être popularisée dans la région[363]. Pendant la Première Guerre mondiale, la reconversion à l'économie de guerre affecte la Bretagne. J.-C., des troupes de la région participent à l'alliance visant à secourir Vercingétorix en faisant lever le siège d'Alésia. L'engagement a lieu en septembre de la même année en baie de Quiberon ou dans le golfe du Morbihan[43], mais faute de vent, nécessaire pour manœuvrer leurs navires beaucoup plus lourds, les Vénètes sont défaits[44]. Certains groupes assurent cependant du lien social, les associations d'anciens combattants rassemblant 50 000 adhérents en 1928, et 125 000 en 1933[474]. À la sortie de la période précédente s'ouvre une période dominée par la maison de Nantes qui s'étend de 937 à 988[154]. L'Église bretonne évolue du fait de la réforme grégorienne à partir d'environ 1050[144]. Le breton atteint son maximum historique de locuteurs, autour de 1,2 million, de même que le gallo[473], mais se heurte à une politique répressive dans les écoles où l'utilisation du symbole est encouragée par l'administration scolaire.

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